Les deux entreprises partenaires apporteront chacune une contribution équivalente en argent ou en services portant à plus d’un million de dollars la valeur de ce projet. Le financement de cette première collaboration avec le Massachusetts a été rendu possible grâce à un soutien financier du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie (MESRST).

« Nous sommes très heureux de cette première réalisation avec notre partenaire, le MLSC, qui vient concrétiser notre volonté de développer des liens entre les chercheurs du Québec et ceux du Massachussetts, une région très fertile en sciences de la vie, et je remercie le MESRST d’avoir rendu cela possible. Ce nouveau projet apportera également beaucoup de valeur à l’industrie pharmaceutique qui cherche à développer de nouveaux traitements pour la maladie de Parkinson, une maladie complexe et encore mal comprise », se réjouit madame Diane Gosselin, Ph.D., présidente et directrice générale du CQDM.

« Le partenariat avec inviCRO LLC et Biospective aidera à apporter de nouvelles technologies en matière de santé sur le marché en plus d’avantages économiques pour le Québec et le Massachusetts », a déclaré madame Susan Windham-Bannister, Ph.D., présidente et chef de la direction de MLSC.

« Biospective est heureux de collaborer avec le CQDM et inviCRO sur ce projet. Nous souhaitons faire progresser notre compréhension de la pathophysiologie complexe de la maladie de Parkinson, ainsi que de faciliter l'évaluation de l'efficaité de nouveaux agents thérapeutiques modifiant la maladie par le développement de biomarqueurs d'imagerie, à la fine pointe de la technologie, rigoureusement validés. La plateforme innovante que nous comptons développer nous permettra d'élargir notre gamme de services, et de s’imposer sur le marché des études précliniques pour la maladie de Parkinson », a commenté monsieur Barry Bedell, MD, Ph.D., directeur des opérations et directeur scientifique chez Biospective.

Le scientifique en chef du Québec, monsieur Rémi Quirion, Ph.D., salue cette première collaboration de recherche internationale avec le Massachusetts. « Une telle collaboration est d’autant plus pertinente, car elle vise à apporter des solutions novatrices dans le traitement de maladies neurodégénératives telles le Parkinson, un domaine des sciences de la vie qui mobilise les chercheurs du Québec et leurs collaborateurs internationaux. Ce projet laisse également entrevoir des retombées socioéconomiques concrètes pour la population », a commenté le scientifique en chef.